Christian SANCHEZ – guitare
Pascal KOBER – basse, chant
Thierry RAMPILLON – guitare
Depuis le printemps 2002, l’Alzy Trio réunit trois amis, amoureux (de la racine latine : amator) du jazz et de la bossa-nova. Seize cordes en bal(l)ades, leur premier album, paraît en 2007 avec huit variations instrumentales pour guitares acoustiques sur des thèmes connus (Birdland, Corcovado, Insensatez, Rimes, So danço samba, So what, Wave, etc.) signés Joe Zawinul, Tom Jobim, Claude Nougaro ou encore Miles Davis.
Plusieurs belles expériences feront écho à ce premier opus : une émission de télévision avec Pierre Barouh, Sheyla Costa et Jean-Pierre Mas ; plusieurs invitations au festival international de jazz de Tanger, au Maroc ; un concert dans l’émission La Bande passante sur Radio France Internationale ; ou encore ces jam sessions Friends rassemblant une kyrielle d’autres musiciens. Aujourd’hui, avec de nouveaux amis invités, l’Alzy Trio fait chatoyer le grand répertoire de la chanson française en proposant des arrangements aux couleurs du jazz et de la bossa nova. Un voyage en zigzags autour des sourires complices et du bonheur simple de jouer ensemble.
C’est en clin d’œil, taquin, au Great American songbook (rassemblant notamment les standards de Broadway) que nous avons voulu un titre en langue anglaise pour ce deuxième album très « frenchy » du trio enregistré en 2011 et réédité en 2016. Bâti autour d’arrangements pour guitares acoustiques (et quelques amis invités), A French songbook
Alzy propose les plus beaux fleurons du patrimoine de la chanson française : La javanaise (Serge Gainsbourg), la Chanson des jumelles (Michel Legrand) ou encore Cécile, ma fille (Claude Nougaro)… Un double voyage transatlantique, en somme, puisque ces chansons, écrites à Paris, ont franchi une première fois l’océan en direction du Brésil et de l’Amérique du Nord pour se frotter à la bossa nova, au blues et au jazz, avant de revenir en France parées du prestige des grands standards du répertoire international : Les feuilles mortes, de Jacques Prévert, sous le nom d’Autumn leaves ou Que reste-t-il de nos amours de Charles Trenet, transformée en I wish you love.